C'est probablement à cette République que l'on doit les devises officieuses de la ville, « Ni Français, ni Breton, Malouin suis. " Ni Français, ni Breton, Malouin suis "Plus communément connue ainsi:" Malouin d'abord, Breton ensuite... et Français s'il en reste "Mais non, je ne suis pas chauvine !! Gilles Foucqueron, médecin de 52 ans, écrit aussi sur Saint-Malo. ", dit la devise non officielle, ou encore "Malouin d'abord, Breton après, Français s'il en reste", simplifiée par Chateaubriand pour donnée la forme la plus connue aujourd’hui : « Ni français, ni breton, malouin Cette indépendance durera jusqu'en 1594. Malouin d'abord! « Le Malouin est fier. Cette indépendance durera jusqu'en 1594. C'est probablement à cette République que l'on doit les devises officieuses de la ville, « Ni Français, ni Breton, Malouin suis. », et la plus répandue, selon les guides touristiques modernes, « Malouin d'abord, Breton ensuite... et Français s'il en reste [1] ». --Delio 27 juillet 2008 à 11:37 (CEST) Je confirme, tu n'as pas été leurré c'est bien la devise. » et la plus répandue, selon les guides touristiques modernes, « Malouin d'abord, Breton ensuite... et Français s'il en reste ». Beaucoup dans le questionnaire me disent : « malouin d’abord, breton ensuite, français s’il en reste ». Je me suis laissé dire que la devise "moderne" de Saint Malo serait "Français, peut-être, Breton, sûrement, Malouin d'abord!" Sinon, St Malo est, comme chacun sait : "Malouin d'abord, Breton ensuite... et Français s'il en reste." Toujours fidèle à l’écriture, son encre anthracite est composée de trois principes alchimiques : l’ésotérisme, le giallo et le heavy metal. «Ni français ni breton, malouin suis» Il se dit originaire du Sillon depuis dix-neuf générations. Ai-je été leurré ou bien un Malouin pourrait-il confirmer ou infirmer? Une chanson de Georges Brassens qui, s’il en est, n’est pas des moindres « impertinents », « la Ballade des gens qui sont nés quelque part », corrobore toutes ces allégations d’une réputation non usurpée de la suffisance d’une certaine République malouine :« Malouin d’abord, Breton ensuite... et Français s’il en reste » Ils se revendiquent Bretons mais d’abord Malouins. C'est probablement à cette République que l'on doit les devises officieuses de la ville, « Ni français, ni breton, malouin suis. Une chanson de Georges Brassens qui, s’il en est, n’est pas des moindres « impertinents », « la Ballade des gens qui sont nés quelque part », corrobore toutes ces allégations d’une réputation non usurpée de la suffisance d’une certaine République malouine : « Malouin d’abord, Breton ensuite... et Français s’il en reste » » et la plus répandue, selon les guides touristiques modernes, « Malouin d'abord, Breton ensuite... et Français s'il en reste [1] ». "Malouin d’abord, Breton ensuite et… Français s’il en reste", telle aurait pu être la devise de Cassandre. Message cité 1 fois Message édité par bzhyoyo le 11-02-2020 à 14:24:35